•  

    http://www.desmetpatrice.tumblr.com

    http://www.libertinage-666.centerblog.net

     

    Un aller simple

     

    Sur le quai de la gare

    Je suis dans le brouillard

    Marchant au hasard

    A l’aube de ce petit matin

    D’une nuit sans lendemain

    Un baiser de la main

    Tu me laisses sur le quai

    Pour prendre ton train

    Je te regarde t’éloigner

    Sans te retourner

    Si seulement tu savais

    Tout le mal que tu me fais

    Notre amour condamné

    Je suis tout chaviré

    J’ai le pas qui traine

    Le cœur plein de haine

    Je suis en état de stress

    Et si je t’envoyais un SMS

    Ne pas sombrer dans le désespoir

    Il reste toujours un espoir

    Pour ne pas effacer notre histoire

    Du fond de ma mémoire

    Ton train part dans dix minutes

    Et moi je reste là hirsute

    Petit à petit la brune vaporeuse s’efface

    Alors, je cours pour ne pas perdre la face

    Devant le guichet

    Je prends un billet

    Un aller sans retour

    Il sera doux le voyage de l’amour

    Oui !!! Avec couchette

    Demain sera chouette

    Je prends ce train pour y retrouver

    Un amour passionné…

     

     

    Patrice le 28 septembre 2012

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    http://www.desmetpatrice.tumblr.com

     

    J’aiguise ma plume…

     

     

    Si l’occasion m’était donnée d’être pyromane

    Je te ferais frémir crescendo

     

    Gémir au son d’un tango

    De ce corps féminin, j’allumerais la flamme

     

    Sans gêne, je serais

    L’extase de tes nuits

    Ouvert à toutes tes folies

    Chacun de tes rêves je réaliserais

     

    Refusant la routine

    Chair contre chair je créerais l’extase

    Je te réduirais en esclavage

    Je te ferais coquine, mutine et libertine

     

    De caresses délicates et suaves

    Où se forme la vague, qui monte et ondule

    Deux corps enlacés dans la houle

    Jouissance sans entrave

     

    Je nagerais dans ton triangle des Bermudes

    Puisant la sève sortie de sa corolle

     

    Saveur au parfum aigre doux d’une fleur créole

    Feu sacré sous de telle latitude

      

    A la mesure de ma bouche gourmande

     

     

    Patrice Desmet le 20 mars 2011

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  • Je tenais à vous faire découvrir un auteur

    que j'ai découvert chez mon amie Evy

    http://www.sirene.name/

     

    Le Bel Hidalgo

     

    Ces textes sont d'une grande beauté,

    parsemés de délicatesse,

    et de sincérité,

    j'adore tout simplement!

     

    Femme de désir

    Femme de plaisir

    Je ne peux que te contempler

    Ne peux point te toucher

    Ton corps est divin

    Etre de lumière

    Créature de rêve

    Sortie de l'imaginaire d'un artiste

    Peut être en souvenir d'un désir enfoui

    Il nous offre une femme tendresse

    Peu être maitresse

    Mais point de caresse

    Peinture sublime

    Pour un corps sublime

    Je t'offre ces quelques rimes

    En ton nom

     

    " Au petit matin, le soleil m'offre une lumière douce

    Je ne me sens pas farouche au sortir de ma couche

    Je me laisse tenter par une douce rêverie

    Le soleil caresse mon corps tendrement

    Ici point d'emportement

    J'oubli q'un amant pourrait me désirer

    S'il me voyait

    Je veux juste profiter

    Pour m'iniver de ces senteurs naturelles

    Une douce brise s'empare de mon corps

    Et fait courir sur ma peau un léger frisson

    Je sens mes seins qui se pointent

    A la caresse du vent

    Mais c'est pour moi il n'y a pas de honte

     

    Je m'assoupis

    Je m'abandonne

    Mon corps fusionne

    En un seul être de vie

    D'amour et de plaisir tendre

    Je m'évade loin d'ici

    Pour rejoindre un cocon douillet de vie

     

    J m'assoupis

    Je m'abandonne

    Mon corps fusionne

    En un seul être de vie

    Je m'évade loin d'ici

    Pour rejoindre un cocon douillet de vie

     

    De grâce mes amants joyeux

    Laissez-moi profiter de cet instant merveilleux !!!!!!!!!

    Ou je n'appartient seule ici

    Loin de vos regard désireux

    De m'amener sur les chemins amoureux impétueux

     

    Je vous dirais le plaisir tendre de cet instant de la vie

    De cet instant où je me recharge en énergie

    Pour peut être accomplir de drôles de diablerie

    Dont il n'ait point question ici

    Car je ne vous ai pas invité

    A partager cet instant d'éternité !!!!! "

     

     

    Bel Hidalgo

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  • Je tenais à vous faire découvrir un auteur

    que j'ai découvert chez mon amieEvy

    http://www.sirene.name/

     

    Le Bel Hidalgo

     

    Ces textes sont d'une grande beauté,

    parsemés de délicatesse,

    et de sincérité,

    j'adore tout simplement!

     

    O belle dame!

     

     O belle dame

    Le peintre ne vous a point déshabillée

    Il l'a juste suggéré

    Alors le poète vas s'occuper

    De ce corps tout en beauté

    Pour faire un instant d'éternité

     

    Êtes-vous penseuse ?

    Êtes-vous rêveuse ?

    Êtes-vous amoureuse ?

    Qu'importe!!!

     

    Loin de vos prétendants amoureux

    Vous êtes partie chercher la quiétude

    Juste un moment de féminité

    Ici point de solitude

    Juste un moment de simplicité

    Votre beauté votre grâce font de vous

    Un être désir

     

    Au premières lueurs du soleil

    Quelle merveille

    Une beauté pareille

    Votre corps est sublime

    Le soleil léger qui illumine

    Nous rapelle qu'il n'est point question de désirs intimes

     

    Les voiles légers qui l'habillent

    Soulignent vos formes joyeuses et généreuses

    Le vent légers qui court sur votre corps

    Laisse un léger frisson

    Qui fait de vos seins

    Les monts du bonheur

    Juste au dessus de votre coeur

     

    O être de merveille

    On aimerait faire glisser la bretelle

    Pour faire descendre cette jolie dentelle

    Combien vous êtes belle

    Vous faites naitre un désir de vous caresser

    De vous effeuiller

    Du bout des doigts

    Tout en douceur

     

    Point de brusquerie

    Point de fächerie

    Pour respecter ce silence qui s'impose

    Il ne faut pas que je vous indispose

    Dans cette recherche de quiétude

    Sur votre corps en offrande charmelle

    Ou il n'y a point de beauté superficielle

    J'aimerais déposer un baiser au gout de miel

    Une telle rencontre providentielle

    Est un don du ciel

    Je suis devant un instant d'éternel

    Qui devient émotionnel

    Devant un corps aussi déshabillez

    Pour vous allonger et profiter de votre nudité

    En toute intimité

    Que le peintre a du s'émerveiller

    A dessiner vos formes

    Et nous laisser rêver

    D'être un voyeur privilégier

    De ce corps en beauté

    Mais vous appartenez à l'éternité

    Femme de beauté

    Au revoir

     

     

    Le bel Hidalgo

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  • Je tenais à vous faire découvrir un auteur que j'ai découvert chez mon amie Evy

    http://www.sirene.name/


    Le Bel Hidalgo

     

    Ces textes sont d'une grande beauté,

    parsemés de délicatesse,

    et de sincérité,

    j'adore tout simplement!

     

    Symphonie pour une âme chagrine!

     

    La beauté des mots

    Ne guérit pas les maux

    De l'âme

    Les mots que j'écris pour vous madame

    Sont des syllabes pour égayer votre âme

    Jai lu un cri de rage qui mine votre sort

    Car malgré tous vos efforts

    Vos cris sonnent le cor

    Du désespoir

    Les trompettes de la renommée

    Se sont ici arrêtés.

     

    Alors pour vous je joue une douce harmonie

    Avec quelques notes de musique d'un orchestre en symphonie

     

    La beauté de vos yeux

    Le sourire sur vos lèvres

    C'est le haut bois et la clarinette

    Qui chantent à tue-tête

    Les larmes sur votre joue

    C'est le violon qui les joue

    Le battement de vos cils

    C'est comme un triangle qui tinte sur le fil

    La douceur de votre voix

    Vos cris d'émoi

    Vos rancoeurs et vos chagrins

    C'est la harpe qui les porte sur le chemin du destin

    Vos déchirements, vos hurlements

    C'est l'orgue qui peut s'enorgueillir

    De les vomir

    Au delà de la montagne des vents

     

    Le battement de votre coeur

    Le centre du bonheur

    C'est le roulement des baguettes de tambour

    Au lever du jour

    Vos formes et rondeurs sensuelles

    Frissonnerons au tintement léger des cymbales

    Le sang qui coule dans vos veines

    C'est une douce mélodie que le piano

    Joue sans peine

     

    Ici dans cette douce symphonie

    On peut imaginer Bach, Mozart, Chopin,

    Vivaldi, Mahler, Beethoven,

    Faure, Tchaïkovski, Rachmaninov

    Et autres pour vous apporter

    La bonne humeur.

    Alors comme vous voyer votre âme

    C'est aussi le chant du bonheur.

    Tout comme votre corps

    Peut être le champ du bonheur.

     

     

    Le Bel Hidalgo

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  • A Mademoiselle!

     

    A Mademoiselle

     

    Oui, femmes, quoi qu’on puisse dire,

    Vous avez le fatal pouvoir

    De nous jeter par un sourire

    Dans l’ivresse ou le désespoir.

     

    Oui, deux mots, le silence même,

    Un regard distrait ou moqueur,

    Peuvent donner à qui vous aime

    Un coup de poignard dans le coeur.

     

    Oui, votre orgueil doit être immense,

    Car, grâce à notre lâcheté,

    Rien n’égale votre puissance,

    Sinon votre fragilité.

     

    Mais toute puissance sur terre

    Meurt quand l’abus en est trop grand,

    Et qui sait souffrir et se taire

    S’éloigne de vous en pleurant.

     

    Quel que soit le mal qu’il endure,

    Son triste rôle est le plus beau.

    J’aime encor mieux notre torture

     

     

    Alfred de Musset

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  •  

    A deux beaux yeux

     

    Vous avez un regard singulier et charmant ;

    Comme la lune au fond du lac qui la reflète,

    Votre prunelle, où brille une humide paillette,

    Au coin de vos doux yeux roule languissamment ;

    Ils semblent avoir pris ses feux au diamant ;

    Ils sont de plus belle eau qu’une perle parfaite,

    Et vos grands cils émus, de leur aile inquiète,

    Ne voilent qu’à demi leur vif rayonnement.

    Mille petits amours, à leur miroir de flamme,

    Se viennent regarder et s’y trouvent plus beaux,

    Et les désirs y vont rallumer leurs flambeaux.

    Ils sont si transparents, qu’ils laissent voir votre âme,

    Comme une fleur céleste au calice idéal

    Que l’on apercevrait à travers un cristal.

     

     

    Théophile Gautier, La comédie de la mort

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