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Par Menelwena le 5 Mai 2013 à 14:52
http://www.desmetpatrice.tumblr.com
http://www.libertinage-666.centerblog.net
Un aller simple
Sur le quai de la gare
Je suis dans le brouillard
Marchant au hasard
A l’aube de ce petit matin
D’une nuit sans lendemain
Un baiser de la main
Tu me laisses sur le quai
Pour prendre ton train
Je te regarde t’éloigner
Sans te retourner
Si seulement tu savais
Tout le mal que tu me fais
Notre amour condamné
Je suis tout chaviré
J’ai le pas qui traine
Le cœur plein de haine
Je suis en état de stress
Et si je t’envoyais un SMS
Ne pas sombrer dans le désespoir
Il reste toujours un espoir
Pour ne pas effacer notre histoire
Du fond de ma mémoire
Ton train part dans dix minutes
Et moi je reste là hirsute
Petit à petit la brune vaporeuse s’efface
Alors, je cours pour ne pas perdre la face
Devant le guichet
Je prends un billet
Un aller sans retour
Il sera doux le voyage de l’amour
Oui !!! Avec couchette
Demain sera chouette
Je prends ce train pour y retrouver
Un amour passionné…
Patrice le 28 septembre 2012
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Par Menelwena le 5 Mai 2013 à 14:25
http://www.desmetpatrice.tumblr.com
J’aiguise ma plume…
Si l’occasion m’était donnée d’être pyromane
Je te ferais frémir crescendo
Gémir au son d’un tango
De ce corps féminin, j’allumerais la flamme
Sans gêne, je serais
L’extase de tes nuits
Ouvert à toutes tes folies
Chacun de tes rêves je réaliserais
Refusant la routine
Chair contre chair je créerais l’extase
Je te réduirais en esclavage
Je te ferais coquine, mutine et libertine
De caresses délicates et suaves
Où se forme la vague, qui monte et ondule
Deux corps enlacés dans la houle
Jouissance sans entrave
Je nagerais dans ton triangle des Bermudes
Puisant la sève sortie de sa corolle
Saveur au parfum aigre doux d’une fleur créole
Feu sacré sous de telle latitude
A la mesure de ma bouche gourmande
Patrice Desmet le 20 mars 2011
1 commentaire -
Par Menelwena le 18 Octobre 2012 à 10:56
Je tenais à vous faire découvrir un auteur
que j'ai découvert chez mon amie Evy
Le Bel Hidalgo
Ces textes sont d'une grande beauté,
parsemés de délicatesse,
et de sincérité,
j'adore tout simplement!
Femme de désir
Femme de plaisir
Je ne peux que te contempler
Ne peux point te toucher
Ton corps est divin
Etre de lumière
Créature de rêve
Sortie de l'imaginaire d'un artiste
Peut être en souvenir d'un désir enfoui
Il nous offre une femme tendresse
Peu être maitresse
Mais point de caresse
Peinture sublime
Pour un corps sublime
Je t'offre ces quelques rimes
En ton nom
" Au petit matin, le soleil m'offre une lumière douce
Je ne me sens pas farouche au sortir de ma couche
Je me laisse tenter par une douce rêverie
Le soleil caresse mon corps tendrement
Ici point d'emportement
J'oubli q'un amant pourrait me désirer
S'il me voyait
Je veux juste profiter
Pour m'iniver de ces senteurs naturelles
Une douce brise s'empare de mon corps
Et fait courir sur ma peau un léger frisson
Je sens mes seins qui se pointent
A la caresse du vent
Mais c'est pour moi il n'y a pas de honte
Je m'assoupis
Je m'abandonne
Mon corps fusionne
En un seul être de vie
D'amour et de plaisir tendre
Je m'évade loin d'ici
Pour rejoindre un cocon douillet de vie
J m'assoupis
Je m'abandonne
Mon corps fusionne
En un seul être de vie
Je m'évade loin d'ici
Pour rejoindre un cocon douillet de vie
De grâce mes amants joyeux
Laissez-moi profiter de cet instant merveilleux !!!!!!!!!
Ou je n'appartient seule ici
Loin de vos regard désireux
De m'amener sur les chemins amoureux impétueux
Je vous dirais le plaisir tendre de cet instant de la vie
De cet instant où je me recharge en énergie
Pour peut être accomplir de drôles de diablerie
Dont il n'ait point question ici
Car je ne vous ai pas invité
A partager cet instant d'éternité !!!!! "
Bel Hidalgo
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Par Menelwena le 18 Octobre 2012 à 10:35
Je tenais à vous faire découvrir un auteur
que j'ai découvert chez mon amieEvy
Le Bel Hidalgo
Ces textes sont d'une grande beauté,
parsemés de délicatesse,
et de sincérité,
j'adore tout simplement!
O belle dame
Le peintre ne vous a point déshabillée
Il l'a juste suggéré
Alors le poète vas s'occuper
De ce corps tout en beauté
Pour faire un instant d'éternité
Êtes-vous penseuse ?
Êtes-vous rêveuse ?
Êtes-vous amoureuse ?
Qu'importe!!!
Loin de vos prétendants amoureux
Vous êtes partie chercher la quiétude
Juste un moment de féminité
Ici point de solitude
Juste un moment de simplicité
Votre beauté votre grâce font de vous
Un être désir
Au premières lueurs du soleil
Quelle merveille
Une beauté pareille
Votre corps est sublime
Le soleil léger qui illumine
Nous rapelle qu'il n'est point question de désirs intimes
Les voiles légers qui l'habillent
Soulignent vos formes joyeuses et généreuses
Le vent légers qui court sur votre corps
Laisse un léger frisson
Qui fait de vos seins
Les monts du bonheur
Juste au dessus de votre coeur
O être de merveille
On aimerait faire glisser la bretelle
Pour faire descendre cette jolie dentelle
Combien vous êtes belle
Vous faites naitre un désir de vous caresser
De vous effeuiller
Du bout des doigts
Tout en douceur
Point de brusquerie
Point de fächerie
Pour respecter ce silence qui s'impose
Il ne faut pas que je vous indispose
Dans cette recherche de quiétude
Sur votre corps en offrande charmelle
Ou il n'y a point de beauté superficielle
J'aimerais déposer un baiser au gout de miel
Une telle rencontre providentielle
Est un don du ciel
Je suis devant un instant d'éternel
Qui devient émotionnel
Devant un corps aussi déshabillez
Pour vous allonger et profiter de votre nudité
En toute intimité
Que le peintre a du s'émerveiller
A dessiner vos formes
Et nous laisser rêver
D'être un voyeur privilégier
De ce corps en beauté
Mais vous appartenez à l'éternité
Femme de beauté
Au revoir
Le bel Hidalgo
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Par Menelwena le 3 Octobre 2012 à 18:43
Je tenais à vous faire découvrir un auteur que j'ai découvert chez mon amie Evy
Le Bel Hidalgo
Ces textes sont d'une grande beauté,
parsemés de délicatesse,
et de sincérité,
j'adore tout simplement!
La beauté des mots
Ne guérit pas les maux
De l'âme
Les mots que j'écris pour vous madame
Sont des syllabes pour égayer votre âme
Jai lu un cri de rage qui mine votre sort
Car malgré tous vos efforts
Vos cris sonnent le cor
Du désespoir
Les trompettes de la renommée
Se sont ici arrêtés.
Alors pour vous je joue une douce harmonie
Avec quelques notes de musique d'un orchestre en symphonie
La beauté de vos yeux
Le sourire sur vos lèvres
C'est le haut bois et la clarinette
Qui chantent à tue-tête
Les larmes sur votre joue
C'est le violon qui les joue
Le battement de vos cils
C'est comme un triangle qui tinte sur le fil
La douceur de votre voix
Vos cris d'émoi
Vos rancoeurs et vos chagrins
C'est la harpe qui les porte sur le chemin du destin
Vos déchirements, vos hurlements
C'est l'orgue qui peut s'enorgueillir
De les vomir
Au delà de la montagne des vents
Le battement de votre coeur
Le centre du bonheur
C'est le roulement des baguettes de tambour
Au lever du jour
Vos formes et rondeurs sensuelles
Frissonnerons au tintement léger des cymbales
Le sang qui coule dans vos veines
C'est une douce mélodie que le piano
Joue sans peine
Ici dans cette douce symphonie
On peut imaginer Bach, Mozart, Chopin,
Vivaldi, Mahler, Beethoven,
Faure, Tchaïkovski, Rachmaninov
Et autres pour vous apporter
La bonne humeur.
Alors comme vous voyer votre âme
C'est aussi le chant du bonheur.
Tout comme votre corps
Peut être le champ du bonheur.
Le Bel Hidalgo
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Par Menelwena le 18 Juillet 2012 à 16:36
A Mademoiselle
Oui, femmes, quoi qu’on puisse dire,
Vous avez le fatal pouvoir
De nous jeter par un sourire
Dans l’ivresse ou le désespoir.
Oui, deux mots, le silence même,
Un regard distrait ou moqueur,
Peuvent donner à qui vous aime
Un coup de poignard dans le coeur.
Oui, votre orgueil doit être immense,
Car, grâce à notre lâcheté,
Rien n’égale votre puissance,
Sinon votre fragilité.
Mais toute puissance sur terre
Meurt quand l’abus en est trop grand,
Et qui sait souffrir et se taire
S’éloigne de vous en pleurant.
Quel que soit le mal qu’il endure,
Son triste rôle est le plus beau.
J’aime encor mieux notre torture
Alfred de Musset
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Par Menelwena le 28 Avril 2012 à 17:41
A deux beaux yeux
Vous avez un regard singulier et charmant ;
Comme la lune au fond du lac qui la reflète,
Votre prunelle, où brille une humide paillette,
Au coin de vos doux yeux roule languissamment ;
Ils semblent avoir pris ses feux au diamant ;
Ils sont de plus belle eau qu’une perle parfaite,
Et vos grands cils émus, de leur aile inquiète,
Ne voilent qu’à demi leur vif rayonnement.
Mille petits amours, à leur miroir de flamme,
Se viennent regarder et s’y trouvent plus beaux,
Et les désirs y vont rallumer leurs flambeaux.
Ils sont si transparents, qu’ils laissent voir votre âme,
Comme une fleur céleste au calice idéal
Que l’on apercevrait à travers un cristal.
Théophile Gautier, La comédie de la mort
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